Le monde ovale vient d'être victime - je pèse mes mots - d'un foutage de gueule dans les règles. Le joueur écossais au nom prédestiné Scott MacLeod est un chanceux éternel auprès de l'organisme anti dopage britannique.
Ainsi en début d'année, il fut blanchi après avoir été contrôlé positif aux stéroïdes. Il avait alors expliqué avoir utilisé un médicament destiné à soigner son asthme contenait des stéroïdes. Soit.
Veuillez patienter le pompon est à venir....
Fin octobre, c’est son fort taux de testostérones qui était mis à l’index. « Mais ce taux s'expliquerait en fait par une consommation importante d'alcool du joueur » dixit l’organisme sus cité
Légèrement curieux des choses de la vie, je m’en suis allé à la recherche du pourquoi du comment l’abus de bizarre ferait pousser les hormones mâââââââles. Sans avoir de notions médicales, je pensais découvrir une explication pédagogique à cette réaction chimique.
J’ai eu beau chercher…. je n’ai rien trouvé. Enfin si j’ai trouvé…
J’ai découvert que l’alcool DIMINUE la production de testostérones... (Si vous voulez avoir confirmation de cela, direction un moteur de recherche)
Je pose donc la question : de qui se moque l’organisme britannique d’anti dopage ? Pourquoi les hautes instances ovales ont avalé une telle conclusion ? Où sont et que font les instances médicales sportives ?!
Vous êtes médecin rugbyphile (ou pas) et vous avez une démonstration rationnelle à nous fournir ? Avec plaisir !!!
mardi 25 novembre 2008
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Pff ça mérite des coups de pieds dans la tronche ça quel pauvre type...
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